Quelle alternative à Google Drive ?

Lina Laurent, qui vit en partie à Parkmoon, n’est pas seulement journaliste mais aussi ruche qui garde les poulets et les moutons d’été sur une vieille crofter. Lina Laurent et Maija Hurme se connaissent depuis leur journaliste d’été. Photo : Cata Port/Maison d’édition S&S.

A lire en complément : Dvi ou HDMI ? Les différences

Le livre conjoint pour enfants de Lina Laurent et Maija Hurmee Hidopalsta Tarhurit (suédois : Plats på jorden) n’aurait peut-être jamais vu le jour si Laurent et sa cohabitation, Kasimir Johansson, étaient devenus enthousiastes pour le rucher il y a cinq ans.

Laurent, résident de Helsink à Parkku, gardait des poulets d’été et des moutons depuis des années quand une connaissance suggérait pourquoi ne pas garder aussi les abeilles.

Lire également : Comment acheter des timbres en ligne ?

Laurent et Johansson ont été inspirés par l’idée, ont suivi un cours sur le sujet et ont également reçu l’aide d’un rutard local au cours du premier été.

— Nous mangeons beaucoup de miel et nous vendons aussi ça.

Les abeilles ont commencé à intéresser Laurent tellement qu’il a décidé d’écrire un livre non-fiction sur leur traitement pour les enfants. Cependant, l’idée est tombée en travers lorsque Laurent et Maija Hurme découvrent que des œuvres similaires étaient déjà trouvées sur le marché.

— Mais quelque chose d’autre a évolué de l’idée. Marie connaissait déjà bien la liaison au charbon de bois, l’agriculture sans houe et le compostage bokashi, et nous avons également fait ce livre de « Hidopalstan », qui est plus holistique sur le cycle de la nature.

Pendant ce temps, dans les deux langues

Lina Laurent et Maija Hurme, qui étaient autrefois familiarisées à Hufvudstadsbladet en tant que rédacteurs d’été, ont écrit le livre en deux, et Hurme l’illustra.

« Nous avions un fichier commun dans Google Drive au début où l’un écrivait quelque chose, l’autre, puis nous avons changé des textes et les a réécrits. Je ne peux pas comprendre quelle partie est écrite par moi et ce que Maijan, Laurent raconte.

Parivaljako est devenu si heureux qu’ils ont facilement trouvé un éditeur pour leur livre, qui décida de traduire le livre du suédois vers le finnois. La version finlandaise et suédoise est apparue en même temps en avril.

Le livre est à la fois une histoire sur des amis qui deviennent des agriculteurs urbains, et un livre non-fiction sur l’agriculture sans houe et liant le carbone. La question porte sur des sujets tels que la culture, le bokash, les abeilles et la pollinisation.

De nombreux moyens respectueux de l’environnement

Mais que veut dire bokashi ?

« C’est une méthode de compostage qui a gagné une grande popularité grâce à l’acidation des déchets biologiques, c’est-à-dire la fermentation. Nous mettons du hachis microbien dans le mélange de biodéchets et donnons au compost le moins d’oxygène possible. C’est une façon d’obtenir de la saleté vraiment riche en nutriments, explique Laurent.

Qu’ en est-il de la culture du toit de houe ?

— Il cultive la terre sans creuser. En anglais, les mots no creuser sont utilisés. Dans la culture sans capuchon, les vers, les microbes et les petits organismes sont autorisés à être aussi tranquilles que possible. La matière organique, comme le compost, est ajoutée à la surface de la terre, ainsi qu’à la couverture. Moins le sol est creusé fréquemment, plus le carbone est préservé dans le sol.

Dans les grandes exploitations, par exemple, la culture de prairies vivaces lie le carbone, de même que les cultures de couverture et les terraformages plus légers.

Bien que le livre s’adresse aux enfants, Laurent recommande aux adultes de le lire avec les enfants — et au-delà, pas quand je me mets au travail.

Nous avions un fichier commun dans Google Drive au début où l’on a écrit quelque chose, et un autre puis nous avons changé des textes et les a réécrits, dit Lina Laurent à côté de son Maija Hurme. Photo : Cata Port/Maison d’édition S&S.

Les pays ne sont que prêtés

Lina Laurent dit que l’homme moderne ne peut pas pendant le changement climatique faire la bonne chose autre que de s’intéresser à leur environnement.

Certes, Laurent pensait depuis longtemps que les terres de la maison de Parkku ne sont que prêtées et qu’il est de son devoir de les entretenir pour le plaisir de la postérité.

« Plus nous savons de la destruction des espèces et du réchauffement climatique, nous ne pouvons nous empêcher de penser à notre environnement.

Parkkuu devint familier à Laurent dès son enfance, car leur famille y avait un chalet. A côté du chalet se trouvait l’ancienne torppa d’Anni et Väinö Suominen, la deuxième maison actuelle de la famille Lina Laurent.

Nous avons encore les pommiers, les vivaces et les arbustes de baies d’Ann et Väinö dans la cour, dont nous nous occuperons pour la prochaine génération.